dimanche 31 mai 2009

Corse du Sud

Propriano.

Du 28 mai au 4 juin nous sommes partis en Corse du Sud avec l'AAAA (l'Amicale de l'Association des Anciens Apprentis). Notre hôtel, l'Arena Bianca, se trouvait à Propriano.
L'hôtel était situé au bord de la plage, ce qui nous permettait d'avoir une vue très agréable et une plage privée.
En cette période nous étions pratiquement seuls dans l'hôtel.
Après le repas nous avions l'habitude de nous réunir sur la terrasse pour prendre le café. Choses agréables pour des Ch'tis.
Depuis la route menant à l'hôtel, nous pouvions voir, dans le fond, Olmeto.
L'hôtel, se trouve à quelques mètres du centre ville de Propriano.
Vue sur le port de Propriano depuis le terrain à proximité de l'hôtel.

Sur la route de Santa-Maria.

Le 30 mai 2005, en se rendant au village de Santa Maria, nous nous sommes arrêtés sur cette route où nous pouvions avoir une vue imprenables des environs.
Comme celle-ci.
De ce même endroit, nous avions une vue sur Propriano dans le fond.
Propriano dans le fond, pris du car.
A l'époque, faisant plus de vidéo que de photos, je n'ai pas pris de photos sur le Village de Santa Maria.

Bonifacio.

Le 31 mai 2005, c'est Bonifacio que nous avons le plaisir d'arpenter.

Sur la route de Bonifacio nous passons sur ce site où se trouve des rochers aux formes étranges, en particulier un lion couché (Lion de Roccapina), au fond à droite.
Le port de plaisance de Bonifacio.
Après une petite virée en mer, agitée, c'est au restaurant "La sémillante" que nous reprenons des forces.
Pour la page d'Histoire. La frégate "SÉMILLANTE" quittait le port de Toulon le 14 février 1855, commandée par le Capitaine JUGAN, à destination de la CRIMÉE (mer noire) pour apporter aux forces françaises des vivres, des renforts en troupe et en matériel.
Cette frégate de 60 canons et ayant à son bord 350 hommes d'équipage et 400 passagers, devait, lors d'une affreuse tempête dans les bouches de BONIFACIO, aux îles Lavezzi, dans une zone de brisants et d'écueils, poussée par une rafale du sud, sans pareil, de mémoire d'homme, se heurter avec une vitesse de 12 nœuds sur un rocher sous-marin. Broyée par le choc, elle a coulé par le fond dans la nuit du 15 au 16 février 1855, "CORPS ET BIENS", tout a été instantanément englouti.

Au restaurant "La sémillante".
Au restaurant "La sémillante".
L'après-midi, libre, c'est dans les rues de Bonifacio que nous vagabondons.
Et même en "liberté" nous arrivons à nous y retrouver. Comme le monde est petit, surtout à Bonifacio.
Monument aux morts de la légion étrangère.
Le vote dans l'impasse.
Le 29 mai 2005 c'était à l'époque du référendum pour les européennes.
Les rues de Bonifacio.
Les rues de Bonifacio.
Les rues de Bonifacio.
Un scaphandrier.

Ajaccio.

Bien sûr, l'incontournable quand nous allons en Corse du Sud pour la première fois, c'est allé à Ajaccio, la ville du petit caporal, et de lui rendre une petite visite. Ce que nous avons fait le 1 juin 2005.

Le monument de Bonaparte.
Le monument de Bonaparte en entier.
Les îles sanguinaires.

Le nom "Sanguinaires", donné à ces îlots, a plusieurs origines ; soit dû à la lumière pourpre qui ensanglante les roches, juste avant le coucher du soleil sur la mer, soit à la couleur des frankénies (Frankenia laevis), petites plantes à fleurs roses dont les feuilles virent au rouge vif en automne, ou aux fleurs roses des nivéoles.
D'autres hypothèses font référence au golfe de Sagone. Des cartes géographiques anciennes font mention des îles "Sagonnaires" (isule sagunarie) nommées par l'évêché de Sagone. Plus tard, des établissements de fortune accueillirent des pêcheurs de corail surnommés i sanguinari (les gens au sang noir), revenant d'Afrique et purgeant leur quarantaine.
Au restaurant "Le Dauphin".
L'après-midi, toujours libre, nous nous promenons dans la ville. Nous deux sur le parvis de la cathédrale.

Le col de Bavella et Porto Vecchio.

Le 2 juin 2005, c'est à Porto Vecchio que nous sommes partis et nous sommes passés par ce col. Le col est situé à 1 248 m d'altitude. Bien qu'une petite laine fut prise par précaution, en ce mois de début juin il y fait très bon.

Nadine au col de Bavella.
Un peu plus bas c'est au barrage d'Ospedale que nous avons fait une halte. Ce barrage haut de 25m est construit suivant la technique des levées de terre. Ce dernier retient un volume d’eau de 3 000 000m3 et forme un petit lac.
La journée du 2 juin c'est terminée à Porto Vacchio. Très peu de photo, mais quel bateau.
Lady Nadine devant le Lady Natinia.

Campomoro.

Le 3 juin 2005 notre destination est Sartene et, en chemin, nous nous sommes arrêter à Campomoro qui se trouve qu'à quelques kilomètres de Popriano.

La plus grande tour génoise de Corse se trouva à Campomoro. Elle fût achevée en 1586. C'est par un petit sentier boisé que nous pouvons monter à cette tour.

(Ici également, très peu de photos.)

Campomoro du haut de la tour génoise.

Sartene.

Avant d'arriver à Sartene, nous nous sommes également arrêtés le long de la rivière U Rizzanese.

Cascade (dans le fond) entre Sartène et Propriano.
Nous deux avec la cascade, en fond, sur la rivière U Rizzanese.
Nous deux avec le pont gênois Spin'a Cavallu enjambant la rivière U Rizzanese.
Nous voici arrivés à Sartene.
Ici l'une de ces ruelle.
Ruelle de Sartène.
Escalier donnant accès à une autre rue.
Vue d'ensemble à l'entrée de Sartène.

Sur le port d'Ajacccio.

Voilà, nous sommes le 4 juin 2005, c'est la fin de notre séjour Corse. Nous sommes de retour au port d'Ajaccio.

En face du port, l'aérodrome.
L'arrivée du Danielle CASANOVA. C'était notre bateau pour l'aller et le retour.
Notre bateau rentre au port d'Ajaccio.
Le Danielle CASANOVA à quai.
En flânant dans les rues, nous sommes tombés sur une carte postal montrant l'ancien Danielle Casanova.

Sur le Danielle CASANOVA.

Nadine couchée dans la cabine.
Nous deux sur le lit.

Marseille.

Le 5 juin 2005, nous arrivons à Marseille. En attendant notre train, nous en profitons pour nous promener dans cette ville.

Profitons du peu de circulation pour prendre la Cannebière menant au vieux port.
Porte d'Aix depuis le Boulevard d'Athènes.
L'église Saint Vincent de Paul depuis le boulevard d'Athènes.
L'escalier et la gare Saint-Charles face au boulevard d'Athènes.
Cet escalier monumental fut inauguré en avril 1927 par le Président de la République Gaston DOUMERGUE.
De part et d’autre du dernier palier se trouvent deux sculptures de Louis BOTINELLY qui se font face et représentent les "colonies d’Afrique" pour celle placée à l’Ouest
et les "colonies d’Asie" pour celle située à l’Est. Les colonies sont représentées sous les traits de deux femmes qui se font face, allongées sur une banquette, deux enfants accompagnant chacune d’elles.
Après trois petits paliers, on arrive sur un grand palier intermédiaire encadré par deux pylônes. La partie Sud de ces piliers a été sculptée par Auguste CARLI et représente une allégorie féminine reposant sur un socle. Celui-ci, identique pour chacun des piliers, représente la proue d’un navire d’où émergent trois rames de chaque côté de l’étrave ornée d’une tête de bélier. Deux dauphins émergent de l’eau au bord du navire.

A gauche l’allégorie féminine symbolisant la porte de l’Orient est vêtue d’une longue toge, jambes croisées, assise sur un siège dont les montants sont décorés de griffons. Le bras droit tient un trident.
A droite l’allégorie féminine représentant Marseille colonie grecque, est vêtue d’une chlamyde. Elle est assise sur un siège antique et tient dans sa main droite une statue de la déesse Diane.Vue depuis l'escalier de la gare.Le midi c'est au restaurant "Le Printemps" dans le Boulevard Maurice BOURDET sur le côté de la gare Saint-Charles que nous finissons ensemble nos vacances.

Sur le chemin du retour.

Nos TGV sont arrivés.
Jumelage d'un TGV classique et un Duplex.
Nous deux, vous adressant un dernier sourire d'un séjour inoubliable.